L'horloge de mes aîeux

Pièces jointes 21-30 au rapport

PJ de 21 à 30

Les pièces jointes au rapport (de 21 à 30) qui ne peuvent pas être mises en texte sont visibles en une ou plusieurs images. Elles font partie d'un diaporama qui se trouve dans la rubrique Documents 53

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PIECE JOINTE NUMERO 21

The New England Journal of Medicine  

Shifts to and from Daylight Saving Time and Incidence of Myocardial Infarction

Incidence des changements d'heure sur l'infarctus du myocarde

Imre Janszky, M.D., Ph.D.   Karolinska Institute    SE-171 76 Stockholm, Sweden       imre.janszky@ki.se

Rickard Ljung, M.D., Ph.D.   National Board of Health and Welfare    SE-106 30 Stockholm, Sweden

 (traduction du texte anglais)

Plus de 1 milliard et demi d’hommes et de femmes sont exposés aux transitions impliquées par l'heure d'été : avancer les horloges d’une heure au printemps et les reculer d’une heure à l'automne. Ces transitions peuvent perturber les rythmes chronobiologiques et influer sur la durée et la qualité du sommeil, et cet effet dure plusieurs jours après le changement (1,2).

Nous avons étudié l'influence de ces transitions sur l'incidence des infarctus aigus du myocarde. Pour calculer le ratio d'incidence, nous avons comparé l'incidence des infarctus aigus du myocarde au cours de chacune des 7 premiers jours après le changement de printemps ou celui d’automne et la moyenne de l'incidence sur les jours de semaine correspondants situés 2 semaines avant et 2 semaines après.

Par exemple, pour le mardi après la transition, nous avons divisé l'incidence sur ce mardi par la moyenne de l'incidence sur le mardi situé 2 semaines plus tôt et l'incidence sur le mardi situé 2 semaines plus tard. Nous avons utilisé les données du registre suédois des infarctus aigus du myocarde, qui fournit une information de qualité sur tous les infarctus aigus dans le pays depuis 1987. Les ratios d'incidence ont été calculés, en tant que mesures du risque relatif, et exact à 95 % d’intervalle de confiance.

Les 3 premiers jours de la semaine après le passage à l'heure avancée au printemps (Fig. 1 a) l'incidence de l'infarctus aigu du myocarde a augmenté significativement. Le ratio d'incidence de la première semaine après le changement de printemps, calculée comme l'incidence de ces 7 jours divisée par la moyenne des 2 valeurs de l’incidence hebdomadaire 2 semaines avant et 2 semaines après, est de 1.051 (intervalle de confiance à 95% [IC], compris entre 1.032 et 1.071). En revanche, après l'arrêt de l’heure d'été en automne, seul le premier jour de la semaine a été affecté significativement (Fig. 1 b) ; le ratio d'incidence pour toute cette semaine a été de 0, 985 (IC à 95 %, compris entre 0,969 et 1.002).

L'effet de la transition de printemps à l'heure d'été sur l'incidence de l'infarctus aigu du myocarde est un peu plus prononcé chez les femmes que chez les hommes, et l'effet de la transition d'automne est plus prononcé chez les hommes que chez les femmes. Les analyses distinctes des périodes 1987-1996 et 1997-2006 ont donné essentiellement les mêmes résultats que ceux pour la période entière de 1987–2006. Les effets de transition ont été systématiquement plus prononcés pour les personnes de moins de 65 ans que chez les 65 ans et plus.

L'explication la plus plausible pour nos résultats est l'effet négatif de la privation de sommeil sur la santé cardiovasculaire. Selon des études expérimentales, cet effet préjudiciable comprend la prédominance de l'activité sympathique et une augmentation au niveau des cytokines pro-inflammatoires (3,4). Nos données suggèrent que les personnes vulnérables pourraient tirer un bénéfice en évitant les changements soudains dans leurs rythmes biologiques.

Il a été postulé que les habitants des sociétés occidentales sont chroniquement privés de sommeil, puisque la durée moyenne de sommeil a diminué de 9,0 à 7,5 heures au cours du XXe siècle (4). Par conséquent, il est important d'examiner si nous pouvons obtenir des effets bénéfiques avec une prolongation du sommeil. La conclusion, à savoir que la possibilité d’un supplément de sommeil semble être protectrice sur la première journée de travail après le changement de l'automne, nous a intrigués. Nous proposons comme explication que le lundi est le jour de la semaine associé avec le plus grand risque d'infarctus aigu du myocarde, en liaison avec le stress mental de commencer une nouvelle semaine de travail et aussi l'augmentation de l'activité (5).

Nos résultats soulèvent donc la possibilité qu'il y ait un autre composant connexe au sommeil pour l'excès d’incidence des infarctus aigus du myocarde le lundi. Les études sur le sommeil quotidien suggèrent que le coucher et le réveil sont généralement plus tardifs les jours de week-end que les jours de semaine ; on peut faire l’hypothèse que le réveil plus matinal la première journée de travail de la semaine et la privation mineure de sommeil qui en résulte peuvent avoir un effet cardiovasculaire indésirable chez certaines personnes. Cet effet serait moins marqué avec la transition de sortie de l’heure d'été, car elle permet un temps de sommeil supplémentaire. Ces études justifient d'examiner si un schéma hebdomadaire plus stable concernant le réveil du matin et le moment d’aller dormir pour la nuit d’une part, et si un réveil un peu plus tardif le lundi d’autre part, pourraient empêcher certains infarctus aigus du myocarde.

Figure 1. Ratios d'incidence de l'infarctus aigu du myocarde sur les 7 premiers jours après le changement d’heure au printemps et en automne.

L'incidence est représentée par le ratio du nombre d'infarctus aigus du myocarde (diagnostic principal) un jour donné après le changement, par rapport au nombre moyen des jours correspondants 2 semaines plus tôt et 2 semaines plus tard  (les deux nombres sont indiqués au dessus des barres). Les analyses des données pour le printemps sont fondées sur les 15 années comprises entre 1987 et 2006, pour lesquelles le dimanche de Pâques n'était pas le jour de la transition (groupe A).

Les analyses des données pour l'automne sont basées sur la série complète des 20 années entre 1987 et 2006 (groupe B). À l'automne (groupe B), la période de contrôle est définie comme le jour correspondant, en semaine, 2 semaines avant et 2 semaines après le jour intéressé. Au printemps (groupe A), nous avons visé à éviter toute interférence avec Pâques, dont les vacances publiques pouvaient influencer les résultats.

Pendant les années dans lesquelles le dimanche de Pâques a été célébré 2 semaines après le dimanche de l’avancement de printemps, nous avons défini la période de contrôle pour le dimanche du déplacement en choisissant le dimanche, 3 semaines avant et le dimanche, 3 semaines après (donc en sautant le dimanche de Pâques). Lorsque, dans un autre calcul, nous n'avons pas exclu Pâques, si cette fête coïncide avec les jours de l'exposition ou du contrôle, nous avons observé un effet encore plus grand en association à la transition du printemps

Le nombre d'infarctus aigus à la transition des dimanches de changement a été ajusté en tenant compte de la différence de longueur du jour par rapport à la commande « dimanche » (c.-à-d., 23 contre 24 heures au printemps [graphique A]), et 25 contre 24 heures à l'automne [graphique B]). Les résultats des analyses secondaires de printemps et d’automne, qui comprenaient des infarctus du myocarde aigus qui étaient soit des diagnostics principaux soit secondaires, sont essentiellement semblables aux résultats des analyses qui comprenaient des diagnostics principaux seuls, comme l'ont été les résultats des analyses du changement du printemps qui étaient limités aux cas mortels.

Pour le passage de  l’automne, contrairement à l'analyse de tous les infarctus aigus, l’analyse restreinte aux cas mortels a montré une petite diminution de l'incidence des infarctus aigus du myocarde le lundi, et le risque d'infarctus fatal du myocarde a augmenté durant la première semaine après le changement. Les barres indiquent les intervalles de confiance de 95 %.

Bibliographie

1. Kantermann T, Juda M, Merrow M, Roenneberg T. The human circadian clock’s seasonal adjustment is disrupted by daylight saving time. Curr Biol 2007;17:1996-2000.

2. Lahti TA, Leppämäki S, Lönnqvist J, Partonen T. Transition to daylight saving time reduces sleep duration plus sleep efficiency of the deprived sleep. Neurosci Lett 2006;406:174-7.

3. Meier-Ewert HK, Ridker PM, Rifai N, et al. Effect of sleep loss on C-reactive protein, an inflammatory marker of cardiovascular risk. J Am Coll Cardiol 2004;43:678-83.

4. Spiegel K, Leproult R, Van Cauter E. Impact of sleep debt on metabolic and endocrine function. Lancet 1999;354:1435-9.

5. Witte DR, Grobbee DE, Bots ML, Hoes AW. Excess cardiac mortality on Monday: the importance of gender, age and hospitalisation. Eur J Epidemiol 2005;20:395-9.

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PIECE JOINTE NUMERO 22

Changing to Daylight Saving Time Cuts Into Sleep and Increases Workplace Injuries

Le passage à l’heure d’été raccourcit le sommeil et augmente les accidents du travail

Christopher M. Barnes and David T. Wagner

Michigan State University  -   Université d'Etat du Michigan 

Journal of Applied Psychology 2009, Vol. 94, No. 5, 1305–1317

Abstract

The authors examine the differential influence of time changes associated with Daylight Saving Time on sleep quantity and associated workplace injuries. In Study 1, the authors used a National Institute for Occupational Safety and Health database of mining injuries for the years 1983–2006, and they found that in comparison with other days, on Mondays directly following the switch to Daylight Saving Time—in which 1 hr is lost—workers sustain more workplace injuries and injuries of greater severity. In Study 2, the authors used a Bureau of Labor Statistics database of time use for the years 2003–2006, and they found indirect evidence for the mediating role of sleep in the Daylight Saving Time–injuries relationship, showing that on Mondays directly following the switch to Daylight Saving Time, workers sleep on average 40 min less than on other days. On Mondays directly following the switch to Standard Time — in which 1 hr is gained — there are no significant differences in sleep, injury quantity, or injury severity.

Keywords: sleep, fatigue, safety in the workplace, work injuries, work scheduling

Résumé

Les auteurs examinent l’influence du changement d’heure associé à l’heure d’été sur la durée du sommeil et sur les accidents physiques du travail associés. Dans l’étude n°1, les auteurs utilisent les données du NIOSH (Institut National pour la Sécurité et la Santé du Travail) concernant les accidents dans les mines de 1983 à 2006. Ils ont trouvé que les lundis suivant le changement d’heure – dans lequel 1 heure est perdue – connaissaient plus d’accidents du travail et des accidents plus graves. Dans l’étude n°2, avec les données du BLS (Bureau des Statistiques du Travail) sur l’utilisation du temps de 2003 à 2006, les auteurs ont trouvé une évidence indirecte du rôle du sommeil dans la relation “heure d’été – accidents”, car les lundis suivant directement le passage à l’heure d’été, les travailleurs dorment en moyenne 40 minutes de moins que les autres jours. Pour les lundis suivant le retour à l’heure d’hiver – pour lesquels 1 heure est gagnée -, il n’y a pas de différences significatives pour le sommeil, la quantité des accidents et leur gravité.

Mots-clés : Sommeil, fatigue, sécurité au travail,  accidents du travail, horaires de travail

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PIECE JOINTE NUMERO 23

Au Canada

Sleep Deficit, Fatal Accidents, and the Spring Shift to Daylight Savings Time

Déficit de sommeil, Accidents mortels et passage à l'heure d’été au printemps

COREN, Stanley. (Department of Psychology, University of British Columbia, Canada)

Abstract

Some researchers claim that society is chronically sleep deprived, and even small additional reductions in sleep time may have consequences for safety. Supportive evidence was provided by a study of the effects of daylight savings time (DST) on traffic accidents, finding increased accident rates on the Monday following the spring time shift (one hour sleep lost) and decreased rates in the fall (one hour sleep gained). This study attempted to replicate these findings using data on 366,910 U.S. traffic deaths (1986-1995). Comparing the Monday immediately following the DST shift, with the previous and following Mondays, shows the expected spring increase in fatal accidents [RR = 1.17, 95 % CI=1.07/1.29, þ2 (1) = 10.83, p < 0,001] while the fall time shift produced an insignificant reduction in traffic deaths. Alternative explanations, not involving sleep are that after the spring shift people must drive to work in dimmer light or that those who forget the time shift find themselves late for work and driving with reckless haste. Both predict the accident increase early in the day, while sleep deficit predicts effects later in the day. Partitioning the day into early and late finds only a significant increase in traffic fatalities in the later half of the day [RR=1.13, 95% CI=1.01-1.28, þ2(1)=3.89, p < 0.05]. Thus these data are consistent with the hypothesis that a small decrease in sleep duration, such as that which occurs with the spring shift to DST, can significantly increase accident.

Résumé

Certains chercheurs affirment que la société est chroniquement privée de sommeil, et que même de petites réductions additionnelles du temps de sommeil peuvent avoir des conséquences pour la sécurité. Des preuves ont été fournies à l'appui par une étude des effets de l'heure d'été (DST) sur les accidents de la circulation, en trouvant des taux d'accidents accrus le lundi qui suit le changement d’heure de printemps (une heure de sommeil perdue) et une réduction au changement d'automne (une heure de sommeil acquise). Cette étude a tenté de reproduire ces résultats à l'aide de données sur les 366.910 décès sur les routes américaines de 1986 à 1995. En comparant le lundi, immédiatement après le changement DST, avec les deux lundis l’encadrant, on montre une augmentation des accidents mortels [RR = 1.17, 95 % CI=1.07/1.29, þ2 (1) = 10.83, p < 0,001] au printemps alors que le changement d'automne produit une réduction non significative des décès sur les routes. D’autres explications n'impliquant pas le sommeil, sont qu’après l’avancement de printemps, les actifs doivent aller au travail par lumière changeante ou bien que ceux qui oublient le décalage de l'heure se retrouvent en retard pour le travail et conduisent vite et imprudemment. Ces deux causes entraînent l'augmentation des accidents tôt dans la journée, tandis que le déficit de sommeil apporte des effets plus tard dans la journée. En séparant le début et la fin du jour, on conclut à une augmentation significative des morts seulement dans la deuxième moitié de la journée [RR = 1,13, IC à 95 % = 1,01-1,28, þ2 (1) = 3,89 p < 0,05]. Ainsi, ces données concordent avec l'hypothèse qu'une faible diminution de la durée du sommeil, comme celle qui se produit avec le passage du printemps au DST, augmente sensiblement les accidents

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PIECE JOINTE NUMERO 24

Voir Documents 53

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PIECE JOINTE NUMERO 24 bis

Un usage chronique de tranquillisants et de somnifères favoriserait l’apparition d’Alzheimer

Maxisciences    Émeline Ferard, publiée le 29 septembre 2011

Les premiers résultats d’une étude dévoilée par le magazine Sciences et avenir montrent que l'abus de tranquillisants et de somnifères durant des années augmenterait le risque d'entrée dans la maladie d'Alzheimer.

Si la consommation chronique de certains médicaments est régulièrement pointée du doigt par les autorités sanitaires, c'est une nouvelle préoccupante qu'a révélée le magazine Sciences et avenir. D'après une étude française, la consommation chronique de benzodiazépines aurait un lien réel avec un développement de la maladie d'Alzheimer. Or, cette annonce apparait d'autant plus inquiétante que la France détient le record du monde dans la consommation de ces molécules sous forme de tranquillisants ou de somnifères.

"Pas loin du tiers des plus de 65 ans consomment des benzodiazépines comme tranquillisants ou comme somnifères, c'est énorme, et le plus souvent de façon chronique," relève ainsi le professeur Bernard Bégaud, pharmaco-épidémiologiste à l’université de Bordeaux. Il souligne : "on ne va pas attendre encore quinze ans de continuer à être les champions du monde de la consommation de psychotropes", avant de réagir. D'autant plus que ce n'est pas la première fois qu'une telle association entre la consommation au long cours des benzodiazépines et la maladie d'Alzheimer est identifiée, rappelle le Pr Bégaud.

120 millions de boites vendues par an

Chaque année en France, entre 16.000 et 31.000 cas d’Alzheimer pourraient être ainsi attribués à ces traitements par benzodiazépines ou apparentés, et leurs génériques tels que : Valium (Roche), Témesta (Biodim), Xanax (Pfizer), Lexomil (Roche), Stilnox (Sanofi), Mogadon (Meda Pharma), Tranxène (Sanofi), etc, écritSciences et avenir dans son numéro d’octobre qui rappelle en outre qu’environ 120 millions de boîtes sont vendues par an.

"Si en épidémiologie, il est difficile d'établir un lien direct de cause à effet, dès qu'il existe une suspicion, il paraît normal d'agir et d'essayer de limiter les nombreuses prescriptions inutiles", explique le Pr Bégaud. En effet, de nombreux abus dans les prescriptions sont à signaler : pour les anxiolytiques, la durée du traitement excède souvent les douze semaines. Or, c’est la chronicité de la consommation de ces psychotropes qui est mise en cause dans cette étude.

Un mode d'action qui reste inconnu, une limitation des traitements nécessaire

Avant que la maladie d’Alzheimer ne soit diagnostiquée, les patients présentent souvent des troubles du sommeil, de l'anxiété, voire de la dépression. L’étude a par conséquent sélectionné parmi les sujets de plus de 65 ans de la cohorte Paquid consacrée à l'étude de cette démence, ceux qui ne présentaient aucun de ces symptômes. En comparant consommateurs et non-consommateurs de BZD, les chercheurs bordelais ont alors mis en évidence le lien entre prise chronique (pour une période allant de deux ans à plus de dix ans) de ces psychotropes et le risque d'Alzheimer.

Selon le Pr Bégaud, la majoration du risque, 20 à 50%, peut paraître minime à l'échelle individuelle, mais pas à l'échelle de la population du fait de la consommation de ces traitements par les personnes âgées. Il rappelle par ailleurs que contrairement aux chutes et fractures occasionnés par les BZD, les effets cérébraux de ces derniers apparaissent seulement quelques années après le début du traitement.

A ce jour, la difficulté réside en fait dans le mode d’action de ces molécules sur le cerveau qui demeure énigmatique. Mais, ce problème était déjà mentionné dans un rapport de l'Office parlementaire des politiques de santé sur les médicaments psychotropes en 2006. "Depuis, il ne s'est strictement rien passé", déplore le spécialiste qui préconise la limitation de la durée d’utilisation de ces médicaments mais aussi "que chaque médecin devrait être prévenu des risques qu’il fait encourir en prescrivant des benzodiazépines au long cours".

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PIECE JOINTE NUMERO 24 ter

Voir documents 53

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PIECE JOINTE NUMERO 25

Voir documents 53

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PIECE JOINTE NUMERO 26

Voir documents 53

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PIECE JOINTE NUMERO 27

Voir documents 53

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PIECE JOINTE NUMERO 28

Voir documents 53

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PIECE JOINTE NUMERO 28 bis

Voir documents 53

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PIECE JOINTE NUMERO 29

Voir documents 53

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PIECE JOINTE NUMERO 30

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Commentaires

09.11 | 23:32

Voyez pas que tout par en vrille autour de vous. REVENEZ À la raiso...

09.11 | 23:27

Tout ceux Qui Eux pleurniche pour avoir de longues journées de s...

30.10 | 17:12

Ce que j'ai entendu par hasard ce matin à la radio était vraiment une ple...

30.10 | 17:11

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